Tag: Critique
Light my fire
Damien Aubel, chroniqueur à Transfuge, signe son troisième roman, Je suis le feu. Plus mystique et plus Huysmans que jamais : pour les lecteurs radicaux.
De Mahler à Vigan, le concert rayonnant de l’Orchestre d’Ile de...
L’Orchestre National d’Île-de-France a donné carte blanche à l’écrivaine Delphine de Vigan pour façonner un texte inspiré de la 5e symphonie de Gustav Mahler et proposer une forme fictionnelle à cette partition-monde. À voir ce weekend en région parisienne.
Global Award for Sustainable Architecture: Dorte Mandrup, notre élue
Les 16èmes Global Award for Sustainable Architecture sont remis à cinq architectes soucieux de l'architecture durable. Notre favorie est Dorte Mandrup.
Les corps en révolte de Jan Martens
Après deux festivals d’Avignon et une belle tournée, Jan Martens fait souffler un vent de révolte sur la grande scène de la Villette et aux Gémeaux, en présentant sa première pièce de groupe, Any attempt will end in crushed bodies and shattered bones. Une danse les poings levés !
Daddy: de l’autre côté du miroir
Avec Daddy, spectacle où elle explore la prédation pédophile à l’ère des jeux vidéo, Marion Siéfert signe son œuvre la plus ambitieuse.
Smaïl Kanouté, shaman sous les balles
Never Twenty One: Avec son trio à l’ambiance envoutante, Smaïl Kanouté rend hommage aux victimes des guerres urbaines.
Le tango est une pensée triste qui se danse
Spectacle musical initié par Philippe Cohen Solal et mis en scène par Marcial Di Fonzo Bo, Tango y Tango est la première incursion du romancier Santiago Amigorena dans l’univers du théâtre.
Affreux, sale et superbe Falstaff
Avec ce Falstaff débridé à l’Opéra de Lille, Denis Podalydès, l’Orchestre de Lille, et le baryton Tassis Christoyannis offrent un spectacle jouissif.
S’il ne fallait...
Chacun sa Chaconne
À la Philharmonie, Saburo Teshigawara et Rihoko Sato se lancent dans un débat chorégraphique intense et surprenant avec Bach, Bartók et un Stradivarius. À...
La magie envoûtante du « Tsar Saltane »
Le metteur en scène russe Dimitri Tcherniakov signe une version poignante, entre réalisme et onirisme, de l’opéra de Rimski-Korsakov. À voir à l’Opéra du Rhin.