Tag: Critique

Au cœur des ténèbres napolitaines

À Dijon, le superbe musée Magnin accueille une quarantaine de tableaux des grands maîtres du caravagisme napolitain.

Teshigawara, le corbeau dansant

Saburo Teshigawara et Rihoko Sato reviennent à la Philharmonie, autour du patrimoine musical européen, se permettant d’être Lost in Dance…

Sandrine Rousseau, la baudruche

Eric Naulleau, chroniqueur à Transfuge, signe un essai stimulant, La faute à Rousseau, sur l’horripilante députée écologiste Sandrine Rousseau, qui dessert hélas une belle cause.

Danser l’amour, la mort et la naissance à l’Opéra de Bordeaux

Au Ballet de Bordeaux, quatre écritures chorégraphiques sont inspirées d’événements tragiques ou heureux: Sol León/Paul Lightfoot, Marco Goecke et Houston Thomas. 

Carmen de retour à la maison

L’Opéra-Comique propose une superbe Carmen, dans une mise en scène épurée et une direction musicale impeccable de Louis Langrée, sur la scène même où il a été créé, il près de 150 ans.

Armide: Lully en majesté

Se joue à Dijon ce mois-ci, l’Armide, chef d’œuvre du XVIIe, signé Lully/ Quinault.

Dirty, difficult, dangerous: ambiance de Beyrouth

Retenez bien ce nom : Charaf, Wissam Charaf. Le jeune réalisateur libanais signe avec Dirty, difficult, dangerous, un film chrétien, fantastique, sentimental, cinéphilique. Rien que ça.

Arles, Saint des Saints du dessin

La première édition du Festival du Dessin se tient à Arles. Un enchantement ininterrompu, un luxe d’œuvres, une débauche de jouissances pour l’œil…

Le juste prix d’Arnaud Viviant

Les lecteurs de Transfuge – et les autres – connaissent bien la plume d’Arnaud Viviant. Alerte et pénétrant, malicieux mais jamais volatile, solide mais jamais pesant : Station Goncourt est un remarquable essai sur les prix littéraires.

Le panache, cet art français

En 52 portraits vifs et drôles, François Cérésa livre sabre au clair son panthéon subjectif de ceux qui incarnent pour lui, une certaine idée de la France, avec virtuosité, obstination, et élégance.

Le numéro du mois

  • Roger Caillois, le poète qui parlait aux pierres

    n°192 – ROGER CAILLOIS – Le poète qui parlait aux pierres

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    Édito général

    89 ans : à lire son premier roman, oui son premier roman, on croirait qu’il en a à peine 50. Quelle verve, quel esprit, quelle drôlerie ! Mon Dieu, cet homme sait tout faire. Comment ne pas être pris par cette histoire qui tout à trac vous donne l’agréable impression, de vivre ou de revivre dans un […]

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    LouvreJacquesLouisDavidPhilharmonieMontagONLGémeauxHotelWeekendalest